i will die without a sound (joaquin)

Joaquin Rivera
thirty eight yo + natural born killer

Morir cuando la luz, triste, retira sus áureas redes de la onda verde, y ser como ese sol que lento expira: algo muy luminoso que se pierde. - Manuel Acuña

Froid, distant et renfermé, Joaquin est un animal sauvage qui préfère montrer les crocs que se laisser amadouer par les inconnus. Maniaque au possible, méthodique et perspicace, il ne fait pas confiance au hasard et remarque les détails les plus anodins d’un coup d’œil aiguisé. Son sang-froid, son calme et sa patience sont plutôt remarquables, voire inhumains dans certaines situations ; il a une telle maîtrise de lui-même qu’il paraît réfréner la majorité de ses émotions, ou à les refouler complètement. Les psychiatres qui l’ont examiné ont été surpris de constater qu’il est relativement insensible et qu’il n’agit pas sous l’influence de la colère ou de pulsions diverses. Laconique, peu ouvert aux relations sociales quelconques et ne s’embarrassant pas de formalités, il mène sa vie à sa manière, celle-ci était d’ailleurs réglée comme du papier à musique ces derniers temps. Opiniâtre, il a une farouche aversion pour l’échec et ferait n’importe quoi pour accomplir ce qu’on lui demande. Il est précis et n’aime pas se donner en spectacle – sauf lorsqu’il le décide. Déséquilibré ? Probablement plus qu’il ne le pense. C’est un assassin rusé et impitoyable, ses principes moraux sont discutables. Il n’est pas celui qui défend la veuve et l’orphelin, mais celui qui a tué le père. Parlez-lui de culpabilité, il répondra que c’est le jeu. Cruel, peut-être sadique sur les bords, il côtoie la souffrance comme une vieille amie. C’est un manipulateur qui sait parvenir à ses fins, un comédien habile et prudent. Mais il est sa plus grande faiblesse. Cauchemars récurrents, phobies nocturnes, pertes de mémoire frustrantes… il accumule les névroses.

Sa mère était adolescente lorsqu’elle l’a eu, il n’a jamais connu son père. + Bien que né en Louisiane, il a grandi à Memphis, dans le Tennessee. + Sa langue maternelle est l’espagnol. Il a quelques bases d’arabe. + Il a été élevé dans une secte et s’en est échappé à dix-sept ans. + Recueilli par les services sociaux de Philadelphie, c’est un adolescent perturbé et quasiment illettré. + Il entre dans l’armée à dix-huit ans, faute de trouver sa voie, et réussit l’entraînement des Navy SEALS malgré son physique chétif. + Il s’est marié à vingt-deux ans. + Leur premier enfant est mort in utero et leur second, un petit garçon, s’est éteint à dix-huit mois. Malade des poumons. + Le scanner l’a contrôlé positif en 2005 mais il a évité l’internement grâce à l’identité de ses victimes : deux politiciens opposés au régime. Un chantage du gouvernement l’a obligé à quitter l’armée et à rejoindre les rangs d’une organisation politique non-officielle, chargée d’ « épurer » la société. + Informateur, assassin ou nettoyeur, il était soumis à un contrat rigoureux. + Sa femme ne l’a jamais su mais il a saisi l’occasion pour rester auprès d’elle, dépressive depuis la perte de leurs enfants. + En 2008, elle est victime d’une crise cardiaque qui la laisse dans un état végétatif. Il a décidé de la débrancher. + Il avait deux chiens, Iron et Hunter, ses plus fidèles compagnons. Au cours de son arrestation, en 2012, Hunter a été tué en voulant le défendre et Iron a été emmené dans un refuge. + Même s’il est catholique pratiquant, il fait rarement preuve de miséricorde. + Il est insomniaque et ne dort pas plus de trois heures par nuit. + Il ne fume pas et ne boit pas. + C’est un fou du volant, un danger public une fois que ses pieds touchent les pédales d’un véhicule. + Caméléon ambulant, il a endossé (et emprunté) énormément d’identités ces dernières années – jusqu’à se travestir le temps d’une soirée. + Quand d’autres se détendent dans le bar du coin, il regarde des dessins animés ou des émissions de téléréalité insipides. + En 2012, il assassine le sénateur Dwight Clarkson, en sniper solitaire. Sa voiture de fonction explose aussitôt. Ce n’était pas une commande. L’affaire, relayée par les médias, a pris des proportions ingérables pour le gouvernement… qui a préféré se désolidariser de lui. + Arrêté, il comparaît pour de multiples chefs d’accusation, allant de l’homicide volontaire aux actes de terrorisme. Il est condamné pour sept meurtres (dont était responsable le régime) mais est considéré irresponsable et mentalement déséquilibré, afin de ne pas l’ériger en quelconque symbole anarchiste ou anti-régime. + Il a une page Wikipédia depuis, mais c’est un tissu de conneries. + Bien qu’enfermé, le gouvernement l’a à l’œil et une condamnation à mort sera l’unique récompense qu’il gagnera en essayant de s’échapper. D’une certaine manière, ils l’ont mis dos au mur : ce n’est qu’une question de temps avant qu’il craque. + Certains psychiatres le considèrent sociopathe, d’autres hésitent à se prononcer. + Il souffre d’amnésie dissociative : de nombreuses périodes de sa vie ont été totalement occultées de sa mémoire, dont plusieurs années passées dans la secte (abus divers, lavage de cerveau). + Il a étranglé un détenu qui l’avait passé à tabac peu après son arrivée. + Il a encore quelques cartes en main et s’il a été discrédité par l’opinion publique, il en sait sans doute trop. + Passionné d’échecs, il n’est pas rare de le croiser assis dans son coin, à disputer une partie contre lui-même. Avec ce qu’il trouve pour avoir un jeu complet. +

Myriam Fane Rivera

Myriam Fane étudiait la neurochirurgie à Columbia lorsqu’ils se rencontrèrent. Elle avait vingt ans et lui vingt-et-un. Jeune militaire, il redécouvrait une vie qu’on lui avait volée mais n’avait pas énormément d’expérience avec les femmes. Il était en permission à l’époque et avait suivi quelques amis… à Disneyland. Floride. S’aérer l’esprit avant de prendre du temps à New York. Dans leur hôtel, ils tombèrent sur un groupe d’étudiantes relâchant la pression des examens ; une petite bande se forma, née de ces rencontres inopinées au goût d’éphémère. Myriam et Joaquin étaient des lèves-tôt contrairement à leurs amis et prenaient la plupart de leurs petits déjeuners ensemble. Il est peut-être tombé amoureux tout de suite ou plus tard, en apprenant à la connaître. Il n’en sait rien. Mais en repartant, ils échangèrent des numéros de téléphone, une adresse… Six mois plus tard, ils entamaient une relation. Entre les études prenantes de Myriam et les missions de Joaquin, ils peinaient à mener leur histoire comme ils le souhaitaient mais tenaient bon. Ils se marièrent l’année suivante. Myriam tomba enceinte peu de temps après l’obtention de son diplôme mais perdit le bébé à quelques mois de grossesse. Leur premier enfant naquit en 2006, un petit garçon, Niels. Il succomba à une maladie pulmonaire, à l'âge de dix-huit mois. Face à cette fatalité, Myriam sombra dans la dépression et démissionna, enfermée dans un deuil qu’elle n’acceptait pas. Joaquin essaya d’aller de l’avant pour sauver leur mariage à la dérive mais dut se résoudre à la déchirure d’un amour contrarié par la perte de ce qui le symbolisait plus qu’autre chose. Sa double-vie lui pesait, tout comme son incapacité à soutenir son épouse mutique. En 2008, ils décidèrent de déménager plutôt que se séparer, déterminés à surmonter cette épreuve, mais Myriam fit un malaise cardiaque qui l’affaiblit considérablement. Quelques semaines plus tard, elle fut frappée par une crise cardiaque et son coma se solda par une mort cérébrale. Joaquin la débrancha avec l’accord de ses beaux-parents. Il n’a jamais autant souffert de son existence. Il n’a jamais eu aussi mal. Le souvenir encore brûlant d’un amour réel le hante et il ne voit qu’elle, dans ses rêves, dans la vie. Mais il est soulagé de savoir que leur fils a une maman pour veiller sur lui, là-haut. Il est soulagé qu’elle ne vive plus avec ce qu’il est devenu – ce qu’ils ont façonné de celui qu’elle aimait.

Kira I. Lawrence

Kira était une collègue de Myriam, une rousse pétillante qu’il avait croisée, comme ça, une ou deux fois, sans réellement la remarquer. Il connaissait mieux son père, le pédiatre qui a suivi Niels jusqu’à sa mort inexpliquée. Joaquin l’en a tenu responsable, provoquant un esclandre terrible à l’hôpital, avant d’être maîtrisé par Kira. Elle l’obligea à entendre raison et le calma (tant bien que mal). Le destin a la fâcheuse habitude de les réunir dans les pires moments de leur existence : la perte d’un enfant, la mort d’une épouse, l’entrée dans un asile psychiatrique… Joaquin a cependant découvert le secret de Kira et de sa double-personnalité quelques temps après son internement. Elle est plus fragile, plus déséquilibrée qu’on ne le croit, et même s’il lui rappelle constamment qu’elle passera bientôt de l’autre coté de la barrière, il est rassuré de la savoir là, quelque part. Elle est convaincue qu’il est ce désaxé qu’ont décrit les médias, il a décidé de la laisser croire ce qu’elle voulait en échange d’une aide médicale pour sa mémoire défaillante. Il ne sait pas s’il l’apprécie. Il ne sait pas non plus si elle l’apprécie. Mais il y a quelque chose ; un simulacre de complicité, un accord tacite, ils se protègent sans vraiment chercher à le faire. Joaquin pourrait aimer la voir tomber. Comme il pourrait vouloir la détourner de l’asile. Mais Kira est dangereuse pour elle-même et il a tendance à penser qu’elle n’en est pas consciente.

Nikita L. Mankiewicz

Une nuit, des cris, et il agit sans réfléchir. Pur instinct. Un animal. Il n'était même pas censé se promener dans le coin si ses chiens ne réclamaient pas une balade nocturne, il aurait pu passer son chemin, prétendre n'avoir rien entendu. Il ignore pourquoi il s'est jeté sur l'agresseur, pourquoi il lui a éclaté la gueule, lui qui est adepte de la méthode froide. Normalement, il leur braque un silencieux sous la mandibule. Là, il s'est juste servi de ses poings pour sauver une môme défoncée. C'est une gamine, une gamine perdue et inconsciemment, il veut la protéger. D'elle-même et des autres ; ce nom résonne comme une promesse tacite, Nikita, cette môme qu'il doit remettre sur le droit chemin. Est-ce qu'il tient à elle ? Un peu. Ou pas tellement. En fait, il n'en sait rien. Il y avait Nikita, il y avait les autres et il y avait son job, ses absences, son manque de réaction, sa fatigue, ses oublis. Et il a disparu du jour au lendemain, en laissant son nom et son visage placardés à travers la ville. Dans son isolement, il voit la petite blonde et il se demande, merde, qu'est-ce qu'elle devient la môme.

Roya Farahani

…

m. caelia reynolds

Caelia Reynolds est une psychologue à qui l'on vient de transférer son dossier. Afin d'avoir un œil neuf sur son état ? Il n'en a aucune idée. Jusqu'à leur rencontre hasardeuse dans un couloir, il ne l'avait jamais rencontrée. (… à définir en RP.)

Nevaeh B. Rhodes

Nevaeh semble être sa protégée - il l'a toujours tirée des emmerdes depuis son arrivée. Ce n'est pas dans l'intérêt de la jeune fille, cependant, mais dans le sien ; il a promis à Aaliyah de “veiller” sur elle en échange de médicaments. Ce n'est pas le geste le plus honnête qu'il fasse envers quelqu'un, mais Joaquin n'a pas la réputation d'être un homme droit. Il ne cherche pas à connaître la gamine, il ne sait même pas comment elle a atterri ici mais penche volontiers pour une erreur du système… Elle paraît trop inoffensive.

Pseudo

uc

Pseudo

uc

gifs©tumblr
code©mushy

au cas où:

Le viol nous réuni ! Ahah xD non je dconne soyons sérieux. Donc voilà ce qu'on a vite fait évoqué et qu'il faut encore approfondir ^^
Dans sa recherche désespérée de son violeur, de celui qui lui a tout donné et tout repris, Nikita aurait (dans sa descente aux enfers) cherché à se mettre en danger, a trainer là où peut être un jour elle aurait pu le retrouver. Et ce soir la, cette nuit la, défoncée et l'esprit embrumé par la drogue et l'alcool ingéré, elle aurait fait une mauvaise rencontre, un type commence a la violenter pour l'agresser sexuellement. Son esprit perturbé l'enferme dans le fantasme de son violeur et elle croit le revoir. Elle joue le jeu jusqu'à ce que quelque chose l'inquiète, ce n'est pas un rêve et e type qui la touche n'a rien de l'autre. C'est un porc ignoble. Elle réalise et panique. C'est la que tu entres en jeu parce que enfant violé tu ne peux passer ton chemin et la laisser endurer tout ça. Tu connais ça. A voir si tu apprend par la suite qu'elle connait ça aussi, qu'elle l'a déjà vécu une fois. A voir aussi du coup si elle parle de son désir malsain et névrotique de le retrouver et de lui appartenir de nouveau. A voir aussi tes réactions a toi. Ce qu'elle deviendrait pour toi une fois que tu l'auras secourue.

Oui oui oui Love3

Il l'aide, sans hésiter, c'est de l'instinct ; et il ne laisse jamais l'instinct dominer ses actes. Elle est l'exception qui le pousse à agir sans réfléchir et éclater la tronche d'un type dont il n'a rien à secouer. Elle pourrait avoir peur de lui, s'il va aussi l'agresser, s'il va lui faire du mal, juste l'espace d'un instant, jusqu'à ce qu'elle comprenne qu'il ne fera rien. Il regarde la gamine, elle est à coté de ses pompes, il ne peut pas la laisser dans une ruelle et est comme un con. Il lui pose des questions, si elle connaît le salaud, comment elle s'appelle, son âge, où elle habite, des conneries pour qu'elle reste un minimum consciente. Dans son délire, elle pourrait l'évoquer, cet autre qu'elle attend.
S'il apprenait qu'elle a déjà été violée, il aurait un blocage - par rapport à ses propres souvenirs qui ne sont pas supposés exister, qui ne sont que des trous dans sa mémoire déglinguée. Et si elle lui disait qu'elle cherche l'autre, il ne comprendrait pas. Non. Pour lui, ça ne peut pas être possible, elle est fragile, elle ne peut pas désirer le revoir. Il n'aurait pas bronché si elle lui avait confié qu'elle voulait tuer l'autre mec, qu'elle désirait sa mort comme jamais elle n'avait désiré la mort de quelqu'un, mais qu'elle le protège, non, il la regarderait de travers, en perdrait son calme. Qui était ce type pour qu'elle en rêve ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Qu'est-ce qu'il se passe derrière cet air fragile pour qu'elle rêve de revivre cette horreur? Il essayerait de la convaincre que ce n'est pas ce qu'elle veut, que c'est la culpabilité qui parle, que quand elle se retrouvera face à lui, elle ne le supportera pas. Il n’essayerait même pas dans le fond : il la forcerait presque à accepter sa vision des choses.

C'est une gamine, une gamine perdue et inconsciemment, il veut la protéger. D'elle-même et des autres ; ce nom résonne comme une promesse tacite, Nikita, cette môme qu'il doit remettre sur le droit chemin. Est-ce qu'il tient à elle ? Un peu. Ou pas tellement. En fait, il n'en sait rien. Il y avait Nikita, il y avait les autres et il y avait son job, ses absences, son manque de réaction, sa fatigue, ses oublis. Et il a disparu du jour au lendemain, en laissant son nom et son visage placardés à travers la ville et dans son isolement, il voit la petite blonde et il se demande, merde, qu'est-ce qu'elle devient la môme.

Han J'adore Bave

Oui sûr qu'en le voyant intervenir, le soulagement laisserait vite place à l'appréhension puis à la peur devant la déferlante de violence dont est capable. Et si son sauveur était pire que son agresseur ?
Ce qu'elle compte faire quand elle aura retrouver son violeur, c'est son secret, son inavouable à elle. Elle lâcherait un "c'était lui, c'était lui. Puis plus rien, il était parti" Puis se reprendre. Elle pourrait en effet lui faire croire qu'elle veut le retrouver pour le tuer, pour se venger, pour en finir avec ses démons. Elle préfère cela à avouer qu'elle veut qu'il la possède de nouveau. Et elle pourrait vite trouver en lui un réconfort trop important pour le gâcher si facilement avec un aveu malhabile ^^ Sa façon d'être l'intrigue qui plus est et elle veut comprendre ce qui se cache derrière un tel détachement, un tel contrôle des émotions. Et pourquoi ce soir là il n'était pas le même homme ? Pourquoi ce soir là sa réaction fut celle d'un animal ? Ou était son contrôle ? Pourquoi l'avait-il perdu ?
Elle s'accrocherait un peu à lui comme si elle espérait qu'il puisse l'aider.. Sans savoir dans quel sens elle veut être aidé. Peut-être lui demanderait-elle de l'aider à le retrouver pour le tuer ensemble. Prétextant qu'elle n'est pas sûr d'en être capable le jour où elle mettrait la main dessus. Sachant intimement que pour rien au monde elle ne voudrait sa mort, qu'elle serait prête même à mourir pour le protéger. Une manipulation pourtant pas dénué de sentiments sincères pour Joa' à qui elle en doit une. Et bien qu'elle se sache démente au point de rechercher le danger et plus particulièrement son violeur, elle se sent apaisée et en sécurité près de lui et ça n'a pas de prix les soirs où elle est fatiguée de se battre.

Tellement bon. ** C'est à double-tranchant, pour elle comme pour lui, avec cette espèce de manipulation mutuelle - une complicité qui se veut et ne se veut pas sincère. Et Joaquin détesterait - ne comprendrait même pas - comment elle aurait pu réveiller ce coté animal, ou juste tellement humain, tellement primaire. Pourtant, il a ce truc avec elle ; cette vague impression d'être utile à quelqu'un. Il ne sait pas comment l'aider, il ne sait pas si elle attend qu'il l'aide, mais il essayerait. Elle aurait une place particulière dans sa vie, trop particulière pour qu'il l'occulte de sa mémoire. Sauf que maintenant, il ne peut qu'espérer qu'elle ne fasse pas de conneries sans lui. (Et peut-être qu'avoir une foi quasi inébranlable l'aidera à se faire à cette idée, parce qu'il en doute légèrement... non, énormément. Gni

)

Elle se sentira parfaitement abandonnée, ne soupçonnant qu'à peine qu'il puisse avoir eu un souci, pensant plutôt qu'il l'a abandonné finalement, qu'elle ne comptait pas assez pour lui, comme elle n'a jamais compté assez pour personne ^^ Je crois qu'on tient notre lien Mathy chou Calin

Il se fera pardonner quand il pourra What a Face

C'est parfait comme ça ! Omg

Un lien ?

Owi

Tu as une idée ou on cherche ensemble?

Je viens un peu en touriste donc je veux bien qu'on cherche ensemble Dsl

D'accourd, on va se trouver quelque chose Gaspard

Tu pourrais me parler un peu de Dae ?

J'ai vu que son frère était mort il y a environ un an, donc Joaquin n'aurait pas pu le croiser dans l'asile, mais avec sa petite notoriété de terroriste (ou cinglé, les médias comme l'opinion publique ont un peu de mal à tirer les choses au clair), il aurait peut-être pu attirer l'attention de Daenerys. S'il a organisé un attentat en plein New York, il pourrait avoir envie de réitérer l'expérience dans l'asile (ce bruit-là est assez répandu, on lui confisque tout pour qu'il soit constamment désarmé). D'autres le disent complètement malade aussi - et il aime bien en jouer. Après, si elle parvenait à l'approcher pour une raison ou pour une autre, il hausserait les épaules et continuerait à faire ce qu'il adore faire : s'ennuyer comme un rat mort. Resterait à voir si se rebeller pourrait être envisageable...

Parler de Dae, voyons voyons !
Alors déjà il faut savoir qu'elle se cache derrière sa petite bouille d'ange pour passer inaperçu mais elle a plutôt un fort caractère. Elle est traumatisée par la mort de son frère jumeau et elle est absolument contre contre le système qu'elle estime responsable de la mort de beaaaaucoup de gens. En premier lieu elle essaye surtout de vérifier son hypothèse sur le fait que le scan est défaillant donc elle furète un peu partout, elle observe mais elle sait qu'elle doit pas se faire repérer.
Mais c'est sur qu'elle aurait entendu parler de Joaquin par rapport à son activité terroriste, mais je la vois pas arriver comme une fleur et lui parler de tout faire péter haha

Mais non, le scanner est un bon système.. pas totalement au point quoi. Smileird

*ou* (Dans son for intérieur, Joaquin n'est pas franchement contre ce principe, ou du moins, il a un sens de la justice qui tendrait vers ce que souhaiterait faire le système si celui-ci était plus élaboré et moins controversé.)

Alors. Mettons, un jour, Daenerys doit apporter de la paperasse à quelqu'un, un truc épais qui vomit des feuilles de partout, et se résout à traverser les couloirs (le feignant à qui elle doit le donner ne daigne pas descendre le chercher lui-même Tss

). Elle ne connaît pas encore tous les recoins de l'asile, c'est un peu impressionnant mais ça ne reste que monter et redescendre. Les détenus sont surveillés H24. Sur le chemin cependant, Joaquin surgit de nulle part (pour un peu qu'il sorte de chez le psy ou qu'il ait profité de l'inattention des gardiens). Déstabilisée, elle fait valser tout son bazar et, ô surprise, il se penche pour ramasser une feuille qui est tombée à ses pieds. (Il est civilisé dans le fond, il dit bonjour et merci Smile1

) C'est assez surprenant venant de lui - du moins, pour ceux qui le connaissent uniquement à travers l'image véhiculée par les médias. Il s'en va comme si de rien n'était et la laisse un peu à coté de ses pompes. C'est sûr qu'il ne fait pas ça tous les jours, mais après, entre ce qu'il fait/pense/dit/est... Lui-même s'y perd.
Il pourrait peut-être exercer une espèce de fascination sur elle. Le type est enfermé mais il a de l'assurance, il a vraiment l'air d'avoir conscience d'être enfermé, d'être coincé, et c'est assez dérangeant de voir quelqu'un accepter sa fatalité à ce point. Dae' cherche des preuves concrètes pour (se) prouver que le gouvernement a sa part de responsabilité dans cette connerie de scanner, Joaquin en est une vivante : il connaît la vérité et n'est pas ici parce qu'on l'a jugé positif, il y a été jeté pour crever comme une merde. (Au pire, ce sera l'injection létale. Laughing

) Ça ne se sait pas, bien sûr, mais c'est une question de temps.
Daenerys est toujours dans le doute en ce moment, elle cherche quelque chose qu'on ne veut pas qu'elle trouve, elle carbure à la vengeance… L'approcher de suite, évidemment, ça ne collerait pas, mais on pourrait voir une progression. Elle pourrait d'abord essayer de se renseigner à son sujet, étudier discrètement son dossier, la façon dont il se comporte, dont les autres parlent de lui, parce qu'il apparaît vraiment aux antipodes de ce qu'on raconte. Il pourrait servir ses intérêts Smile1

c'est PAR-FAIT ! J'ai rien à redire Youpi

Un méchaaaaant !

Dis, un lien, tu voudrais ? Gni

Amelia est arrivée en mai à New York, mais je ne sais pas si on peut trouver quelque chose tout de même. J'imagine qu'en tant que flic, elle peut avoir accès à des discussions avec les gardiens de l'asile ou pas du tout ? Parce que du coup, elle pourrait se retrouver sur le territoire vil, un jour (aa)

Je... je... je suis pas méchant. '-' C'est les autres qui disent ça ! Je suis tout mignon, tout doux... Lion

*maggle*
*enfile son costume de super-connard*

Mais ce serait peut-être faisable! La plupart des gardiens l'ont dans le collimateur parce qu'il est assez particulier. Il aime bien se foutre de leur gueule H24 en fait, mais sinon, il est plutôt sage. Elle pourrait faire des escortes parfois, selon la dangerosité du détenu, et aurait pu être amenée à voir ce qui se passe derrière les murs de l'asile. Sachant que les internés sont très encadrés cependant, je ne sais pas si un face à face serait possible, et il n'est pas du genre à agresser gratuitement... huuuu je sèche un peu '-'

Il aurait pu agresser un autre gardien qui l'aurait fait chier, tu crois ? => Parce que du coup, Amelia aurait pu intervenir sur ce coup-là ! Et soit le topic tournerait mal, soit, au contraire, ça pourrait tourner bien ! Froggy

Ça oui, si le gardien l'a cherché, il ne va pas apprécier du tout, et encore moins si quelqu'un essaye d'intervenir. Il pourrait faire mal à Amelia Siffle

... ou se montrer docile comme un chienchien gentil, encore faudrait-il voir si elle arrive à le dresser What a Face

Alors ça, il faudrait voir en RP je pense What a Face

Elle veut bien essayer de le dresser (aaa)

Ooooh tu t'y risquerais ? Huhu

On peut se faire ça dès que tu veux. (aaaa) (apporte une laisse, sait-on jamais Ange

)

Je veux :heart:Je suis en train de commencer un rp pour Luke. Si tu as envie de commencer un sujet pour nous avec l'agression tu pourrais (aa) Je te répondrai dès que possible ! J'oublierai pas la laisse, promiiiiis !

Pas de souci, je te mpotterais ** (dès que j'aurais rattrapé mon retard, ce qui ne saurait tarder Héros

)

Owi ! Mpote-moi, je t'attends (a)

Sujet: Re: i will die without a sound (joaquin)

» you are one of god's mistakes (joaquin)
» sólo dios perdona (joaquin)

i will die without a sound (joaquin)

i will die without a sound (joaquin)

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