La Terre n’est plus ce qu’elle était… Adieu les vertes forêts d’Amazonie, les glaciers de l’Antarctique, les déserts de Sibérie. Elle n’est plus qu’une planète meurtrie, déserte et inhabitable. Les zones encore habitables sont rares, et spéciales. Une technologie avancée permet à ces zones de changer le dioxyde de carbone environnant en oxygène, et ainsi préserver l’espèce humaine. Ses zones se comptent en réalité sur les doigts de la main. La plus grande d’entre elles, Hëilisah, est la seule citée encore debout. Tous les humains survivants au désastre se sont réfugiés dans cette ville.
Parlons maintenant d’Hëilisah ! Seule ville dont les fondations ne se sont pas encore écroulées. Elle est entourée d’une bulle de technologie, la protégeant de la pollution extérieur. Son dirigeant, un homme effroyable, Kwang Yeon. A ce niveau, on peut parler clairement de dictature. Mais chacun son parti. La plupart des personnes puissantes de cette ville ont prit parti pour lui, envoyant même leurs enfants dans la K.P.A
(Ici pour plus d’infos), tandis qu’une minorité, elle, n’hésiterait pas à se rebeller. Certains même l’ont fait ! Il s'agit bien évidemment des Résistants. La cause principale de leur rébellion ? L’exploitation des Vëohts – mutants pour les plus insensibles – n’est plus tolérable. Après tout, eux aussi sont humains. Ou du moins l’ont été.
Les Vëohts, probablement ceux qui ont eut le moins de chance après l’Apocalypse de la Terre : les plus pauvres des rescapés. Pour survivre, ils exploraient la non-zone, cette zone contaminée et instable qui représente plus de 99% de la terre à la recherche d’éléments ou matériaux utiles à l'alimentation de la bulle. C’est cette sur-exposition qui a entraîné des mutations chez certains humains. Rien de réellement physique, seulement des dons étranges et variés, qui sont mis à disposition de la société.
Désormais, tout le monde a son point de vue sur la situation à Hëilisah. Faut-il anéantir les Vëohts ? Les protéger ? Pouvons-nous vraiment faire comme si tout cela ne nous regardait pas ? Ce sont ces questions que chaque jour se posent les Hëilisains à leur réveil. Certains ont trouvé leurs réponses, d’autres la cherchent encore. Et pour vous, qu’en est-il ?